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Mystères et Epouvantes en Hauts-de-France !

Dernière mise à jour : 22 janv. 2021


J-2 avant Halloween...

Cette semaine découvrez, dans votre rendez-vous du jeudi, 5 histoires effrayantes qui pimenteront vos discussions entre ami.e.s et vous évaderont vers une aventure frissonnante à la recherche de l'esprit d'Halloween !

PETITE ENQUÊTE DU CÔTE DE LAMBERSART

D’après certaines rumeurs, une maison située sur l’avenue de l’Hippodrome à Lambersart serait maudite. En effet, cette maison de briques, en retrait de la route n’aurait pas envie d’être habitée et chercherait à se débarrasser de ses habitants. Tous, sans exception, après avoir occupés les lieux moins d’un an, durent les quitter dans des circonstances tragiques : maladies, accidents, décès.

Les plus touchés d’entre eux furent les membres de la famille M., Marine et Sébastien et leur petite fille de 11 mois, victimes d’étranges phénomènes pouvant s’apparenter à un poltergeist : abat-jours qui se penchent tout seul, assiettes qui se jettent d'elles-mêmes sur le sol...Ils finirent par découvrir le secret de toutes ces manifestations paranormales: un squelette gisant dans un coffre-fort découvert entre deux cloisons intérieures. Depuis, la maison est désespérément vide. Qui sera le prochain à oser s'y aventurer ?

STATION DE METRO ABANDONNEE

Sur la ligne 2, entre les stations de métro Lille Grand Palais et Porte de Valenciennes, il existe une station fermée au public! A l’origine, elle était prévue pour desservir la Gare Saint Sauveur, lorsque Lille – tout juste désignée Capitale Européenne de la Culture - s’était portée candidate pour accueillir les Jeux Olympiques d’été. La ville n’a pas été retenue et le projet n’a donc pas abouti. La station ne verra donc jamais « le jour ». Nous nous sommes tout de même aventurés sur l'avenue du président Hoover entre les deux stations existantes à la recherche d'une trace de cette station fantôme mais rien ne semble ressembler à une ébauche de construction.

Néanmoins, de nombreuses histoires mystérieuses planent sur cette étrange station dont celle d’une voyageuse d’une trentaine d’année qui se serait perdue entre les deux stations. Une rame se serait immobilisée entre les deux stations. La jeune femme en serait sortie et se serait ensuite dirigée à pied en direction de la station oubliée, en larmes. Seules quelques affaires personnelles ont été retrouvées au pied des façades de quai.

Le mystère reste entier…

Dans tous les cas, vous ne verrez plus la ligne 2 du métro de la même manière ! Booooo !

ÂMES DAMNEES

Au 60 de la rue Gustave Delory à Lille, s’ouvre une des rues les plus envoûtantes de la métropole lilloise. La rue des Brigittines semble tellement hors du temps. Cet îlot préservé de l’ancien quartier Saint-Sauveur est d’un charme extraordinaire. Extraordinaire, c’est le mot… car, dressez l’oreille, certains soirs… on dit que ce n’est pas le souffle du vent qui s’engouffre dans le passage voûté, mais bien les âmes tourmentées des religieuses qui vivaient là il y a bien longtemps.

Remontons les siècles, nous sommes en 1608. Le couvent des sœurs Brigittines de Termonde, fondé en 1604, commence à devenir le théâtre de manifestations étranges : des visions de spectres et des scènes effrayantes apparaissent. Les religieuses sont ensuite victimes de toutes sortes de maux et doivent combattre la maladie les unes après les autres. Mais le pire est à venir lorsqu’en 1612, lors d’un office, plusieurs sœurs sont prises de rage. Elles renversent l’abbesse, se mettent à danser au pied de l’autel, crient, se contorsionnent, hurlent des mots étranges. Elles ne s’alimenteront plus pendant trois semaines sans aucune conséquence sur leur état de santé.

Deux membres de la communauté vont alors faire la confession d’être en relation avec Satan en personne. Marie de Sains et Simone Dourlet, encore novices, sont arrêtées et conduites à la prison de Tournai. Elles seront interrogées pendant de longs mois et Marie de Sains finit par avouer se livrer à des actes de sabbat, de débauches, et même des meurtres d’enfants. Elle échappe au bûcher et meurt, semble-t-il, en prison vers 1630. On ne sait pas ce qu’est devenue l’autre jeune femme.

Quant aux murmures qui courent le long des vieux pavés…mystère…Est-ce l’âme tourmentée des religieuses ou celle de leurs victimes qui hantent depuis plus de 400 ans cet îlot préservé du temps ? Oserez-vous traverser ce passage ? A vos risques et périls aventuriers de l’épouvante !

DU HAUT DU PHARE

Sortons de la métropole lilloise et rejoignons la côte pour nous rendre dans la ville de Calais. Son phare, dont la construction date de 1848, est érigé sur un ancien bastion militaire. La particularité de ce phare est son emplacement, c’est un phare en pleine ville entouré d’habitations et face à une église ! On dit d’ailleurs qu'il est hanté, la "piste" la plus plausible étant deux squelettes découverts à cet endroit, lors des fondations.

Aujourd'hui, il n'y a plus de gardien, les anciens quartiers font désormais office de musée. L’Association Opale Tour y a aménagé une exposition sur l’univers maritime que l’on peut visiter toute l’année. Depuis 2007, certains membres d'Opale Tour disent avoir ressenti, à de nombreuses reprises, la présence fantomatique d'un inconnu dans ce lieu chargé d'histoire : bruits, ombres, voiles blancs, voix… Des bruits de pas, des portes qui claquent, un parfum qui s’égare... Ne s’agirait-il pas d’attiser la curiosité des touristes ? Les salariés d’Opale Tour s’en défendent, exhumant des archives de la Ville de Calais, un fait historique révélé par Michel Hamy :

« Lors de la construction du phare en 1845, les squelettes d’une femme et d’un homme ont été découverts, sans que l’on soit en mesure de dire de qui il s’agit. »

Un fait que confirme l’historien local et président de l’Association pour la mise en valeur du patrimoine architectural du Calaisis, Dominique Darré :

« Le phare a été construit sur les fortifications de Calais, sur un site de défense, où la présence de corps pouvait s’expliquer. Ces squelettes pouvaient être là depuis très longtemps. »

Personne cependant n’avance que les âmes égarées de ces cadavres hantent le phare de Calais. Le président Guy Leuliet ajoute : « L’histoire du phare a été émaillée d’un suicide, à la fin du XIXe siècle. L’ancien maire d’Ardres, qui s’est jeté de la septième fenêtre. »

Qui est donc ce fantôme tourmenté qui rôde en haut du phare ? Laissez-vous tenter par une petite visite !

UNE PETITE FILLE A LA MAISON

Partons maintenant dans l'Oise, à Bresles. Une maison située au 13 rue du 11 novembre devient le théâtre d’étranges manifestations qui ont de quoi hérisser le poil. Les phénomènes paranormaux auraient commencé en novembre 2011 relate le Courrier Picard. L'«entité» qui se serait manifestée serait une petite fille que les propriétaires auraient aperçue à plusieurs reprises : bruits étranges, coups, verrous réouverts seuls, et même une froide sensation de frôlement nocturne sur la propriétaire.

Un groupe de spécialistes est venu inspecter les lieux et a constaté d'étranges phénomènes, comme le clignotement des lumières à l'évocation de l'entité. Une photo, sur laquelle apparaîtrait une silhouette a notamment été prise à cette occasion. De quoi avoir froid dans le dos !


Rien ne vaut quelques histoires étranges et diaboliques pour se plonger dans l'esprit d'Halloween !


Si vous aussi vous connaissez des récits d'épouvantes à faire froid dans le dos, contez-nous votre histoire ...!


Belle fête d'Halloween à tous !

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